Le Pentagone fait face à des problèmes liés aux provisions de défense antimissile dans la législation pour l'exercice 2025


Le Pentagone rencontre des problèmes avec certaines dispositions de défense antimissile dans la législation de politique de défense pour l'exercice 2025. Le Corps des Marines recherche également des systèmes de formation pour le programme de véhicules de combat amphibies, entre autres sujets.

Commençons par la contestation du Pentagone concernant l'inclusion de certaines dispositions de défense antimissile dans le projet de loi de la Chambre pour l'exercice 2025 :

Le Département de la Défense (DOD) a fait appel contre la réduction de 86 millions de dollars imposée par la Chambre des représentants dans l'autorisation budgétaire pour l'exercice 2025 concernant l'intégration "critique" du système de défense Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) au sein de l'architecture de commande de combat intégrée de l'armée (IBCS). Le DOD affirme que des évaluations classifiées jugent ce projet essentiel pour contrer les menaces sophistiquées de missiles.

En parallèle, le DOD fait pression sur le Congrès pour retirer une disposition législative qui pourrait obliger le Pentagone à construire un troisième site de défense antimissile pour la défense du territoire national. Le coût estimé de ce projet est désormais de 5 milliards de dollars, soit 25 % de plus que les précédentes estimations, sans qu'il y ait un besoin opérationnel validé.

Sur un autre sujet, des nouvelles concernant le programme de véhicules de combat amphibies (ACV) du Corps des Marines :

Le Bureau du programme d’assaut amphibie avancé du Corps des Marines a publié une demande de "livres blancs" pour le développement et la production d’un ensemble de systèmes de formation à haute technologie pour le véhicule de combat amphibie (ACV).

Enfin, une autre avancée technologique :

La fusée Vulcan de l’United Launch Alliance (ULA) a décollé avec succès ce matin, franchissant une étape supplémentaire vers la certification nécessaire pour certaines futures missions de sécurité nationale dans l’espace. ULA est "extrêmement confiante" quant à la réussite de ce lancement de certification, selon le PDG Tory Bruno.

Pour conclure, un mémo récent de l'Office de la gestion et du budget de la Maison-Blanche (OMB) renforce les efforts visant à exploiter l’intelligence artificielle (IA) au service des missions des agences tout en protégeant le public contre d’éventuels risques ou dangers. Ce mémo exige que les agences demandent aux fournisseurs de divulguer l’utilisation de l’IA et de signaler tout incident dans un délai de 72 heures.


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