Luka, les Lakers et le Jackpot à 10 milliards : Et si tout cela avait été orchestré par la NBA ?


Et si l’arrivée de Luka Doncic aux Lakers, la loterie miraculeuse remportée par Dallas, et la vente-record de la franchise de Los Angeles à 10 milliards de dollars n’étaient pas des événements séparés… mais les pièces d’un plan savamment monté par Adam Silver lui-même ?

Cette théorie circule dans les cercles NBA depuis plusieurs semaines. Trop gros pour être vrai ? Peut-être. Trop bien ficelé pour être un hasard ? Clairement.

Les faits, dans l’ordre :

  1. Luka Doncic aux Lakers.
    Los Angeles n’avait ni cap space ni assets majeurs pour un tel transfert. Pourtant, un deal jugé “équilibré” sort de nulle part. Pas de surenchère, pas de fuite dans les médias. Juste Luka qui débarque comme par magie.

  2. Dallas décroche le 1er choix de la Draft.
    Avec seulement 6,5 % de chances, les Mavs récupèrent le #1 pick juste après avoir perdu leur superstar. L’histoire est belle. Trop belle. Le discours officiel : "bonne karma". Le timing : impeccable.

  3. Les Lakers sont vendus pour 10 milliards.
    Nouveau record mondial pour une franchise sportive. L’acheteur ? Un mystérieux conglomérat tech. Et soudainement, toutes les autres franchises NBA prennent de la valeur. La ligue s’apprête à renégocier ses droits TV ? Coïncidence...

Le plan d’Adam Silver ?

Le commissaire de la NBA fait face à plusieurs défis simultanés :

  • Pression des propriétaires pour augmenter la valeur de leurs franchises.

  • Négociation imminente des nouveaux droits médias.

  • Volonté de séduire les investisseurs internationaux (et la Silicon Valley).

Quelle meilleure stratégie que de :

  • Redonner de l’attractivité à la franchise vitrine de la NBA (les Lakers), en y plaçant un joueur générationnel comme Luka.

  • “Compenser” Dallas en leur offrant le ticket pour reconstruire instantanément via la Draft.

  • Créer une narrative où tout le monde semble gagnant.

  • Valider un prix de vente record pour établir une nouvelle base de valorisation juste avant les tractations médiatiques.

On ne dit pas que la NBA est “scriptée” comme la WWE. Mais ce type de scénario, avec son découpage millimétré, ressemble davantage à une stratégie d’entreprise globale qu’au fruit du pur hasard sportif.

L’impact à long terme :

  • Le nouveau propriétaire des Lakers ne rachète pas une équipe en reconstruction, mais une machine à buzz et à titres potentiels.

  • Dallas, qui risquait la crise, se retrouve en pole position pour redémarrer un cycle gagnant avec un rookie star.

  • La NBA, elle, valorise son actif global au moment de discuter avec Amazon, Apple, ou Netflix pour ses prochains contrats de diffusion.

  • Le public ? Il regarde. Il commente. Il consomme.

Conclusion :

Il ne s’agit pas simplement de sport. Il s’agit de narrative design, de storytelling corporate, de business à haute voltige. Luka aux Lakers, la loterie truquée ? Peut-être pas. Mais une opération de branding géopolitique made in NBA ? Très probablement.

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