Coup de tonnerre à Washington : le secrétaire à la Santé des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., vient de renvoyer les 17 membres du comité consultatif sur les vaccins du CDC (Centers for Disease Control and Prevention). Tous, sans exception.
À leur place ? Huit nouveaux conseillers, soigneusement choisis pour "exiger des données claires sur l’efficacité et la sécurité des vaccins avant toute recommandation", selon les mots de Kennedy postés sur X.
Martin Kulldorff : du bannissement d’Harvard à la Maison Blanche
Parmi ces nouvelles recrues : Martin Kulldorff, épidémiologiste suédois, ex-professeur à Harvard, viré pour avoir refusé l’injection Covid. Oui, viré d’une des institutions les plus puissantes du monde pour avoir dit non.
Kulldorff n’est pas un inconnu. Cofondateur de la Déclaration de Great Barrington, il avait dès 2020 appelé à laisser le virus circuler librement pour atteindre l’immunité collective, tout en protégeant les plus fragiles. Une position qui lui a valu le mépris officiel de l’OMS, qui préférait... la piqûre universelle.
Aujourd’hui, Kulldorff déclare que l’absence d’essais randomisés pour les vaccins actuels est une dérive anti-scientifique, prompte à enrichir Big Pharma. Pour lui, ceux qui défendent aveuglément les campagnes vaccinales de masse sont les véritables "anti-science".
Le système en panique ?
La nouvelle a provoqué une vague de critiques dans les cercles médicaux traditionnels américains et européens. Le président de l’American Academy of Physician Associates parle d’un coup dur pour la « confiance dans les vaccins ».
En Suède, le virologue Niklas Arnberg s’inquiète d’une possible remise en cause de vaccins "autorisés depuis des années", craignant une montée de l’hésitation vaccinale. Traduction : peur que trop de gens se mettent à réfléchir.
Une brèche dans le mur ?
Ce renversement brutal au CDC marque une réelle inflexion politique. Pour la première fois depuis des décennies, la politique vaccinale américaine échappe au monopole de l'industrie pharmaceutique et de ses relais institutionnels.
Alors que les campagnes massives d’injection semblaient devenues un dogme intouchable, l'arrivée de Kennedy Jr. et de figures comme Kulldorff rendent possible un débat que beaucoup croyaient interdit.
Première réunion du nouveau comité : aujourd’hui, 25 juin. L’histoire commence.